MAIS QUI ES-TU ANTONIO CERESIA ?
Danseur et chorégraphe formé en Italie au Teatro Massimo de Palerme comme piccoli danzatori puis en France, à l’école de danse Rosella Hightower de Cannes, Antonino a dansé pour les ballets des opéras de Florence, Bordeaux, Palerme et Nice puis pour le ballet d’Europe de Jean-Charles Gil. Il crée sa compagnie Essevesse en 2013, rejoint par Fabio Dolce en 2018.
Ton actu ? Une performance pour les Dimanches de la Canebière en mai et toute l’année des représentations dans le cadre de Provence en scène avec le catalogue Saison 13.
Si Marseille était une danse ? Ce serait une danse folklorique colorée à caractère vivace.
Si Marseille était un pas de danse ? Un saut brisé. Marseille se caractérise par une alternance de cultures et dynamiques qui identifie chaque quartier. Nous passons si soudainement d’un univers à l’autre que le précédant se brise.
Si Marseille était une musique ? Marseille est un mix de musique électronique entremêlée à l’univers lyrique.
Ton quartier préféré ? Je vis dans le premier arrondissement. Central, je peux me rendre partout en moins de 15 minutes.
Une adresse shopping ? Je ne suis pas trop fringues ou alors à Milan.
Ton resto ? Chez Picone ! Et oui, même les danseurs sont “pizza“ après une répétition.
Ta prochaine sortie ? Samedi au CaffèNoir pour commencer, puis direction Le Pulse ou la Dame Noir.
Ton prochain voyage ? En Roumanie à Iaşi pour un projet européen avec la compagnie.
Un danseur qui t’inspire ? Monique Loudières, une des plus grandes danseuses Etoile de l’Opéra de Paris. Mon ancienne directrice chez Rosella et aujourd’hui membre de la compagnie.
Et ta danse à toi ? Ce qui caractérise ma danse est que je l’utilise comme moyen d’expression des gestes du quotidien. Je travaille plus sur l’énergie que sur la forme, et nourris la pièce de la singularité des interprétations des artistes et collaborateurs de tous horizons (vidéastes peintres jongleurs…).
Propos recueillis par Louan Djabra essevesse.com